Alternante en communication

Chargée de communication en alternance

Tami Chellat vient de terminer son alternance de deux ans au sein de Geostock.

Retour sur cette première expérience professionnelle, placée sous le signe de la polyvalence.

1 / Tami, vous venez d’achever vos deux années de Master en communication institutionnelle des entreprises et des organisations, en partageant votre temps entre votre école et Geostock, qui vous a accueillie pour votre alternance. Pouvez-vous nous donner un aperçu du type de mission qu’on vous a confié ?

C’est exact, j’ai effectué mes deux ans d’alternance au service communication de Geostock. Les missions qu’ils m’ont confiées et les projets sur lesquels j’ai travaillé ont été très variés. Et le mot est faible : l’expérience fut réellement 360° ! J’ai vraiment eu l’opportunité de faire plein de choses différentes : de la création de contenus, l’organisation d’un événement international, la rédaction des actualités sur l’intranet, ou encore la gestion d’une newsletter. J’ai par ailleurs pris une part active dans la création du nouvel intranet sur Sharepoint. Mais la mission la plus récurrente était sans aucun doute l’animation des réseaux sociaux. Cela implique de nombreuses réunions éditoriales dédiées, la tenue d’un rétro-planning, le reporting des KPI [indicateurs de performance], des brainstormings, des créa graphiques, des vidéos, des idées insolites, des déplacements, le tout avec mon équipe, mais aussi avec des agences ou prestataires externes. Pendant ces deux ans, j’ai pu constater à quel point la communication aujourd’hui exige d’être polyvalent, en termes de savoir-faire mais aussi en termes de logiques de communication. 

2. Vous avez évoqué votre implication sur la mise en place du nouvel intranet de Geostock. Quel a été votre rôle dans la création et la gestion de cet outil ?

Effectivement, sur ce projet, mon implication fut particulièrement grande. En fait, j’ai vraiment été mise en responsabilité sur ce dossier. Tout d’abord, en amont, je suis intervenue sur la structure d’ensemble, ainsi que sur l’interface, le design, et même l’expérience utilisateur (UX). Une fois l’outil en place, il a fallu l’alimenter, le faire vivre. Cela implique de s’occuper de la collecte d’informations auprès des collaborateurs via des points réguliers avec plusieurs d’entre eux, qui sont la plupart du temps très éloignés de Rueil, et ce afin d’être en mesure de publier des actualités avec une fréquence soutenue. En fait, cette mission, qui est apparue très tôt dans mon alternance, m’a permi de développer ma connaissance de l’entreprise, de parfaire mon acculturation. Et cela m’a bien servi par la suite.

3. Comment avez-vous contribué à la stratégie digitale de Geostock, notamment sur LinkedIn ?

Oui, LinkedIn représente aujourd’hui un moyen de communication central pour la communication digitale d’une entreprise comme Geostock. Avec l’aide d’une agence, nous avons défini la stratégie digitale, les KPI [indicateurs de performance], la ligne éditoriale, ainsi que le planning de publications, le tableau de reporting. J’ai contribué à alimenter ce réseau social en parallèle de l’intranet. Le but était d’améliorer la présence en ligne Geostock et sa visibilité,  ce qui est très gratifiant car on constate qu’une bonne stratégie et un travail soutenu permet d’atteindre, et même de dépasser cet objectif. 

4. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre implication dans l’organisation de la conférence finale Hystories  (projet européen de recherche sur lhydrogène) aux Mines de Paris ?

J’ai eu l’opportunité de contribuer à l’organisation de cet événement scientifique d’envergure internationale. Mon rôle principal consistait à gérer les invitations des participants, en veillant à ce que leur accueil soit optimal. De plus, j’ai eu la responsabilité de coordonner les prestataires liés à l’événement, garantissant ainsi le bon déroulement de tous les aspects logistiques. Travaillant en étroite collaboration avec une équipe engagée, j’ai apporté ma contribution pour créer un environnement propice à l’échange et à la discussion pour les chercheurs et les professionnels du secteur de l’hydrogène.

5. Le secteur de lingénierie et de lindustrie sont des mondes très techniques et en pleine mutation. En tant que fonction support, avez-vous su y trouver facilement votre place ?

Au départ, c’est vrai qu’on a peur de ne pas être à la hauteur. Les activités de Geostock, leader mondial dans son domaine, sont très pointues. Donc, forcément on est amené à côtoyer des ingénieurs de haut niveau, sur des sujets très techniques. Mais, au-delà des stéréotypes,  j’ai réussi à trouver ma place assez rapidement. Cela tient à l’ambiance très familiale de Geostock, à la sympathie que j’ai rencontrée auprès de mes collègues et aux succès remportés par la communication. Cela donne confiance en soi et envie d’apprendre continuellement.

6. Quels sont vos projets futurs et comment les compétences acquises chez Geostock vous aideront-elles dans votre carrière ?

J’ai beaucoup appris chez Geostock, ce qui constitue un bel atout pour ma recherche actuelle d’un nouveau poste de chargée de communication. Bien sûr, j’ai appris en termes de méthode et de gestion des outils de communication. Mais pas seulement, car c’est aussi un métier qui vous pousse à développer une forte capacité d’adaptation à des environnements techniques, à des interlocuteurs de haut niveau, à différentes logiques, par exemple la Marque employeur, et à un monde de la communication en perpétuel changement.


 

Merci Tami pour cet échange.

 


 

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